Les Rovers

Issa Nissa a voulu connaître les ROVERS, un groupe de supporters de l’OGC Nice fondé en octobre 2000.

Rencontre autour d'une bière avec deux membres du groupe : Jean (le Français) et Marc (l’Anglais).

Issa Nissa : Qui sont les ROVERS ?
Jean et Marc : Les ROVERS sont un groupe indépendant, mais avant tout des amis, unis pour la même cause : l’OGC Nice.

Après avoir encouragé leur équipe, ils aiment se retrouver autour d'une bonne table. Au cours de leurs déplacements, ils peuvent (si affinités) très bien tisser des liens de camaraderie avec d'autres supporters autour d'une bonne bière (Ex : Strasbourg, Gueugnon…), tout en continuant à avoir le cœur en rouge et noir. Mais ils savent que ce ne sera pas la même chose en Ligue 1.

Comment le groupe s'est-il formé ?
Le groupe a été crée par quatre amoureux du GYM, le 7 octobre 2000, après une cinglante défaite (7 à 2) à Châteauroux.

Ce soir-là, nous nous appelions RANGERS 2000, mais comme un groupe de Paris portait déjà ce nom (sans la date), il fut décidé de trouver une autre appellation non utilisée en France.

Après discussion, tout le monde fut d'accord pour ROVERS (vagabonds).

Etes-vous nombreux ?
Entre les membres actifs, les sympathisants et nos amis de Lorraine et Paris (rencontrés au cours de déplacements à Nancy, Sochaux et Créteil) quelques dizaines, mais fidèles dans les bons et mauvais moments et prêts à suivre l’équipe même en CFA2.

J'ajouterai que nous préférons être peu nombreux mais unis, plutôt qu'en grand nombre et en désaccord perpétuel.

Avez-vous une ligne de conduite ?
C'est d'être tous derrière l'équipe, à la Britannique, sans s'occuper de savoir si les membres sont masculins, féminins, jeunes ou moins jeunes.

Que pensez-vous de la violence dans le foot ?
Nous pensons que l'avenir du foot ne se trouve pas dans cette façon de voir les choses. Maintenant, chacun voit midi à sa porte.

Votre référence c'est le foot britannique, pourquoi ?
Contrairement au football latin, les Britanniques ne trichent pas ou peu. De plus, le public reste fidèle même en cas de mauvais résultats.

En plus, chez nous, si les affiches ne sont pas trop alléchantes, ou si le match n'a pas d'enjeu, il y a désaffection du public, alors que je me souviens d'un Charlton / Manchester City sans enjeu joué à guichets fermés, ou 15 000 personnes pour Milwall / Norwich en match d'ouverture en Division One (Ligue 2 en France) au mois d'août de l'an dernier.

Quels sont les rapports avec les autres groupes ?
Nous aimerions avoir de bons rapports avec tous les groupes, mais ça ne dépend pas que de nous. Pour les déplacements, il y a affinités avec les Rumpetata (récemment restructuré), que nous venons de rejoindre aux Secondes pour essayer d'être au niveau de la Brigade Sud au point de vue ambiance, ce qui sera un plus pour l'équipe.

Avez-vous des souhaits à formuler ?
Le souhait des Rovers, c'est que le GYM se maintienne et que tout le monde oublie ses petites rivalités, mette son ego de côté et tire dans le même sens pour le bien de l'équipe.

Que ceux qui veulent rejoindre notre groupe viennent nous contacter en Secondes Nord, pendant ou juste après les matches, ou par l'intermédiaire d'Issa Nissa en laissant leurs coordonnées.

Et surtout Allez le GYM !

 
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